Au 18ème siècle.
Au 21 ème siècle
Martine Commessie
Même en ces temps d’incertitude face à la perspective du Brexit, l’insolente réussite économique de la capitale britannique, son spectaculaire dynamisme et sa créativité flamboyante sautent aux yeux des visiteurs. Mais cette vision idyllique cache une autre réalité : dans cette immense métropole grouillante d’activité, le fossé entre les riches et pauvres ne cesse de s’élargir. 50% de toute la richesse de Londres est aujourd’hui possédée par 10% de la population. Tout le monde n’est pas un trader de la City, ni un artiste à succès, et les dernières statistiques officielles 2016/2017, qui viennent d’être publiées, montrent que plus de 2 millions de londoniens vivent sous le seuil de pauvreté, soit 27% des habitants. Cela concerne notamment 1,4 million d’actifs et 200 000 retraités. Pourtant, le taux de chômage est ridiculement bas, le travail ne manque pas, mais il est bien souvent trop mal payé : 58% des londoniens pauvres en âge de travailler ont un emploi, et même parfois deux, voire trois, pour pouvoir boucler les fins de mois. Il faut aussi prendre en compte le prix absolument exorbitant des loyers, les tarifs des transports publics et le coût de la vie en général. Au XVIIIe siècle, un proverbe anglais affirmait : « Quand on est jeune, riche, cultivé et en bonne santé, Londres est la ville la plus merveilleuse du monde ». On pourrait en dire autant aujourd’hui.
Serge Van Den Broucke
On y parle du festival et de l’exposition Steve Bell, mais aussi de nombreux sujets d’actualité culturelle. On y trouve des articles sur des expositions, des films, des célébrations, sur l’actualité du monde anglophone en général, mais aussi de nombreuses bandes-annonces ou courtes vidéos. Ce site, initialement créé à l’intention des professeurs et des élèves, est intéressant pour toute personne désireuse de garder un contact avec l’anglais, le monde anglophone et l’actualité britannique ou américaine sur le territoire français.
Happy browsing,
Nathalie Le Gendre
C’est dans la bonne humeur que le 11 octobre nous avons repris en anglais notre atelier pâtisserie. Bénédicte et Myriam viennent de nous y rejoindre pour notre plus grand plaisir.
Quant au Madeira cake, il s’est révélé parfaitement à la hauteur de l’attente de nos papilles!
Voilà quelques photos de notre dernière réalisation plus la recette.
Jacqueline
Hier soir , vendredi 13 octobre, avait lieu le vernissage de l’exposition Steve Bell que vous pouvez voir à la mairie de Rouen (au premier étage), suivi de la soirée Best of du festival à l’Omnia.
De gauche à droite : Christophe Thierry, président du Rouen Norwich club et directeur du festival, madame Christine Rambaud, adjointe au maire de Rouen, Steve Bell, Olivier Auvray, commissaire de l’exposition et auteur du livret que vous pouvez télécharger sur le site (onglet édition 2017).
http://www.thisisengland-festival.com/
Le public était au rendez-vous , ravi de découvrir les dessins caustiques et pétillants de Steve Bell, de rencontrer l’artiste en personne et de savoir qu’il revient au mois de novembre comme membre du jury de la 6ème édition du festival!
De gauche à droite: Hervé Aguillar, directeur de l’Omnia, Christophe Thierry et Elliot Lardenois , directeur artistique du festival.
Nathalie Le Gendre
L’accrochage est pratiquement terminé! Nous avons hâte de vous rencontrer vendredi en présence de Steve Bell.
Nous serons heureux de vous rencontrer à la soirée best of du festival this is England. le vendredi 13 octobre à 20h à l’Omnia
En pièce jointe le programme. Nous reverrons notamment avec un grand plaisir un court-métrage de Michael Davies avec le regretté John Hurt : Love at first sight, qui avait gagné le prix lors de la première édition du festival!
Merci et à très bientôt,
Very best,
Christophe Thierry
directeur du festival
This Is England
festival director
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Mon admiration pour les dessins de Steve Bell est sans réserve. Son style caustique, sa verve l’inscrivent directement dans la lignée des grands
caricaturistes anglo-saxons et, en particulier, de James Gillray (1756-1815) dont il est lui-même un fervent admirateur.
Ma première rencontre avec Steve remonte à plus de quinze ans et je crois que, ce jour-là, j’étais plus heureux et plus impressionné de faire la connaissance de « Monsieur l’Artiste » que les élèves qui m’accompagnaient.
Sa gentillesse, sa simplicité m’ont conquis instantanément. Je suis devenu un fan non seulement des dessins mais aussi de leur auteur que j’ai vu maintes fois en pleine création, et ceci m’a toujours laissé sans voix. Voir Steve crayonner, ébaucher un personnage, essayer ses peintures dans son carnet de croquis, puis soudainement entendre ce rire venu des profondeurs qui annonce la caricature du jour est quelque chose d’incroyable. Voir le dessin prendre corps et deviner ce qu’il va exprimer est inexplicable.
Vous l’avez compris. La force créative de Steve – je devrais dire son génie – est phénoménale….
Olivier Auvray
Vous trouverez la suite de cet article et bien d’autres dans le catalogue de l’exposition.
Vous pourrez aussi approfondir votre connaissance du
travail de Steve en allant sur son site
: www. belltoons.co.uk
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En avant-première découvrez l’affiche de l’exposition Steve Bell, célèbre journaliste et caricaturiste anglais du Guardian.
C’est la première fois que Steve Bell expose en France. Il sera présent pour le vernissage de l’exposition le vendredi 13 octobre à 18h30 à la Mairie de Rouen mais aussi pendant le festival This is England du 13 au 18 novembre!
Nathalie le Gendre