Un film de Laura Piani Avec Camille Rutherford, Pablo Pauly, Charlie Anson
Agathe a autant de charme que de contradictions. Elle est célibataire mais rêve d’une histoire d’amour digne des romans de Jane Austen. Elle est libraire mais rêve d’être écrivain. Elle a une imagination débordante mais une sexualité inexistante. La vie n’est jamais à la hauteur de ce que lui a promis la littérature. Invitée en résidence d’auteurs en Angleterre, Agathe devra affronter ses peurs et ses doutes pour enfin réaliser son rêve d’écriture… et tomber amoureuse.
Jeudi 21 novembre 2018 a eu lieu le vernissage de l’exposition « The Windsor Tapestry » au Cartoon Museum à Londres (38 Wells Street – off Oxford Street), en présence d’une centaine d’invités dont un assez grand nombre de dessinateurs britanniques, Dave Brown et Nicola Jennings entre autres.
Après le discours de Steve, assez émouvant car il fait encore allusion à la blessure infligée par son limogeage du Guardian (vous pouvez en retrouver l’intégralité sur son blog) , je me suis autorisé quelques mots en anglais, en concluant par une note humoristique…
» Even if blood ties between William The Conqueror and Charles III are yet to be proved, it was an obvious choice to tell Charles’s life in the same way as his illustrious predecessor, and Steve definitely followed in Queen Mathilda’s footsteps, hand-embroidering this magnificent tapestry for the 42nd Salon International de la Caricature, du Dessin de Presse et d’Humour in St Just, near Limoges, in October 2023.
Today, this Tapestry is also an opportunity to correct a blunder by President Macron. Indeed, in January 2018, he promised Theresa May to lend Britain the Bayeux Tapestry, which never happened and probably never will. So, to avoid a diplomatic incident, to reassert the friendship between our two nations, to strengthen the Entente Cordiale, and despite Brexit, the Windsor Tapestry has now crossed the Channel to be exhibited here in London, at the Cartoon Museum.
Thank you very much indeed to Steve, and to the Cartoon Museum for hosting it in such a splendid fashion, and most importantly for helping me dispel Emmanuel Macron’s faux-pas. »
Soirée très intense qui, comme souvent en Angleterre, s’est terminée au pub.
L’exposition sera visible au Cartoon Museum jusqu’au 22 mars 2025. Donc, si vous passez par Londres d’ici là, n’hésitez pas à aller lui rendre visite.
L’exposition Stephen Jones, chapeaux d’artiste au Palais Galliera présente l’œuvre de ce créateur britannique, sans conteste l’un des plus grands modistes contemporains, de ses premières collections dans les années 1980 jusqu’aux plus récentes.
Né en 1957 près de Liverpool, Stephen Jones se forme à la Saint Martin’s School of Art. Il ouvre sa première boutique à Londres en 1980, et propose très rapidement deux collections de chapeaux par an. Membre du mouvement londonien des « Nouveaux romantiques », c’est grâce à ses rencontres dans l’univers de la musique, notamment Boy George, que Stephen Jones fait ses premiers pas dans le monde de la mode. Il collabore avec la haute couture et tisse progressivement des liens étroits avec des maisons et stylistes de premier plan.
L’exposition explore plus particulièrement le lien que l’artiste entretient avec Paris, la culture française et la couture parisienne. Son arrivée dans la capitale et sa collaboration avec les maisons parisiennes ont en effet bouleversé sa vision de la mode et sa création. L’attachement à Paris transparaît à travers ses propres collections, par les sources d’inspiration et les thématiques choisies : symboles de Paris et de l’histoire de France, image de la parisienne, hommage aux couturiers français…
Riche de près de 400 œuvres, l’exposition réunit plus de 170 chapeaux, des archives du modiste (dessins préparatoires, photographies, extraits de défilés…) ainsi qu’une quarantaine de silhouettes complètes avec vêtements et chapeaux. Ces « looks » témoignent des liens de fidélité de Stephen Jones avec les plus grandes maisons, en particulier la maison Christian Dior, avec laquelle il collabore depuis près de trente ans. Devenu le plus « frenchy » des modistes anglais, ce personnage incontournable de la mode parisienne lui a insufflé toute sa créativité et son audace.
Merci à Florian et à Kinepolis Rouen de nous avoir obtenu une version en VO pour ce film autobiographique poignant sur la vie de Lee Miller, ancien mannequin, devenue correspondante de guerre pour le magazine Vogue .
Grâce à Perrine Baudeu, nous sommes partis à la découverte de cet artiste américain aux multiples facettes qui a longtemps vécu entre Paris et Londres. L’exposition développe également de façon très innovante le phénomène du Whistlerisme qui a jalonné l’exploration artistique de courants comme l’impressionnisme et le symbolisme.
Pour ceux qui n’ont pu assister à la visite guidée, vous pouvez écouter le podcast Sens de la visite et aller à la découverte de cet artiste coloriste dandy et éclectique jusqu’au 22 septembre.
Avec le programme The Highland Watch, Alexis Kossenko et les musiciens des Ambassadeurs ~ La Grande Écurie poursuivent leur redécouverte de l’univers des Scottish songs, mélodies au parfum enivrant alternant mélancolie poétique et euphorie débridée.
Laissez-vous séduire par ce voyage en Écosse aux côtés de l’ensemble, de Fiona McGown, Nicholas Scott et Stephan MacLeod.
The Dubhlinn Gardens : une soirée dans la haute société dublinoise du 18 e siècle, où la musique traditionnelle tend à se « civiliser »… Ce programme est né de la passion de la flûtiste Anna Besson pour la musique traditionnelle irlandaise depuis son plus jeune âge. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est la pratique de la flûte irlandaise qui l’a conduite à celle de la flûte baroque… Reinoud Van Mechelen s’est lui aussi formé au chant traditionnel irlandais auprès de Karan Casey et autres chanteurs spécialisés dans le Sean-Nós. C’est cette double pratique de la musique ancienne et des musiques traditionnelles qui a mené l’ensemble A Nocte Temporis à proposer un programme aussi entraînant que touchant
Envie de voyager en Grande Bretagne avec les Musicales de Normandie?
Le festival propose chaque année plus de 30 concerts dans les lieux patrimoniaux les plus remarquables de la région. Pendant tout l’été, ce sont plus de 20 lieux qui accueillent des concerts d’exception en Seine-Maritime et dans l’Eure. En 19 ans, le festival est devenu une référence où il est possible d’entendre à la fois les plus grands artistes de la scène internationale et les plus belles révélations. Les objectifs du festival sont et seront toujours l’accès à la culture pour tous, la mise en valeur du patrimoine normand et du patrimoine musical.