Le principe de cette émission est de dialoguer en direct avec les personnes qui présentent une région ou un lieu célèbre ou moins connu de France. L’émission dure presque une heure donc on a le temps de développer et détailler la découverte de cette région et on y apprend plein de choses intéressantes sur l’histoire ou des idées de ballades.
Ce 27 avril l’émission était dédiée à Maurice Leblanc et la Normandie.
Avec le concours de Yannick Bugeon de Rouen Normandie Tourisme, d’une historienne rouennaise et d’Arsène Lupin en personne;)
En attendant la réouverture prévue pour 2023, vous pouvez faire une visite virtuelle des travaux gigantesques qui sont entrepris. Pour rappel , le château avait gagné en 2018 à la loterie du patrimoine (Heritage fund) une subvention de 13,5 millions de livres pour cette restructuration spectaculaire Royal Palace reborn
Cet ouvrage, court mais dense, du journaliste Serge Van Den Broucke, destiné à tous les passionnés d’Histoire, présente 12 récits étonnants des siècles passés, tous absolument véridiques. Pour permettre un accès au plus grand nombre, il est à présent disponible sous licence Creative Commons by-nc-nd 3.0.
Il est directement accessible en lecture libre aux Editions Atramenta. Il est également disponible en téléchargement multiformat pour lecture individuelle sur ordinateur et sur tous les équipements nomades : liseuses, smartphones et tablettes (Kobo, Amazon Kindle, etc). Informations et liens directs sur le site de l’auteur : www.anglonormanhistory.fr
Dans Patrimoine Normand n°120 (Janvier/Février/Mars 2022)
Dans les temps anciens, le bourreau suscite tout à la fois de l’horreur, de la crainte et de la fascination. Il exerce un métier pareil à nul autre. On le redoute, on le méprise, mais on accourt en foule aux exécutions pour le voir à l’œuvre. En Normandie comme ailleurs, il est un rouage indispensable de l’ordre social. Et son travail effrayant le pare d’une aura ambiguë.
Dans ce nouvel article très documenté de 8 pages, Serge Van Den Broucke explore les différentes facettes historiques de cette réalité terrible, et ses témoins encore visibles dans le patrimoine.
Une réplique de la tapisserie de Bayeux est en train d’être brodée par des bénévoles de Norwich avec les mêmes matériaux et les mêmes techniques qu’il y a 1000 ans. Ce travail monumental a débuté il y a 3 ans et à ce jour 9 des 14 scènes sont terminées. L’ensemble sera accroché dans la chambre du Roi à la réouverture du Donjon (the Keep), prévue en 2022.
Disponible le 8 octobre 2021 dans la revue Patrimoine Normand
Dans le cadre du bicentenaire de la naissance du grand écrivain, né le 12 décembre 1821 à Rouen, l’auteur explore dans ce nouvel article les séjours et les découvertes de Flaubert outre-Manche. L’image d’un Gustave Flaubert claquemuré à Croisset, ne travaillant laborieusement à son œuvre considérable que comme un perpétuel ermite est trompeuse : même si son refuge rouennais fut toujours essentiel pour lui, il voyagea beaucoup, loin, et souvent. Ses rapports avec l’Angleterre, tant personnellement que littérairement, en sont un exemple. On le trouve émerveillé devant le Crystal Palace au cours de la Great Exhibition de 1851, on le suit au British Museum devant les trésors de l’archéologie, on le retrouve dans le palais d’Henry VIII à Hampton Court… Comment Flaubert a-t-il vécu cette confrontation avec la culture britannique ? Et quelles furent les réactions des critiques et du public lors de la publication de ses œuvres traduites en anglais ?
Découvrez l’histoire du plus vieux magasin anglais de bonbons, de son propriétaire qui avoue en manger une livre par jour et des pontefract cakes, originaires du Yorkshire.
Keith Tordoff is the owner of The Oldest Sweet Shop in England, which first started selling sweets nearly two centuries ago (Credit: Mike MacEacheran)
26 Août, 10h, un petit groupe guidé par Mme Delattre s’apprête à suivre la visite du cimetière St Sever à Petit Quevilly et plus particulièrement la section militaire britannique.
Ce n’est pas un lieu austère et triste que nous découvrons mais des stèles blanches soigneusement alignées dans un cimetière jardin conçu en 1917 par l’architecte paysagiste Reginal Blomfield.
11 436 soldats du Commonwealth tués lors de la 1ère guerre mondiale reposent dans le plus grand cimetière britannique de France. Depuis sont venues s’ajouter les tombes des soldats britanniques morts durant la seconde guerre mondiale et des canadiens décédés lors du débarquement à Dieppe le 19/08/1942.
Ce cimetière militaire est entretenu par 6 jardiniers du CWGC (Commonwealth War Graves Commission) qui a défini dès 1920 le paysage des cimetières britanniques dans les différents pays du monde : la croix du sacrifice, la pierre du souvenir et des pierres tombales blanches identiques, sans distinction de classe entre les soldats, garnies de fleurs et alignées à des espaces réguliers sur de la pelouse.
Pourquoi ce cimetière à Petit Quevilly ?
Dès le début de la 1ère guerre, Rouen devient la base arrière des anglais et c’est là que les blessés au front reviennent dirigés dans les hôpitaux militaires installés à Rouen et les communes environnantes. Ceux qui ne survivent pas sont alors inhumés dans ce cimetière retenu par l’armée Britannique dès le début de la guerre.
Un pan sombre de notre histoire nous est raconté en cette matinée mais c’est aussi la vie de la ville de Rouen marquée par la présence de nombreux militaires anglais en ce début du XXè siècle qui nous est révélée.
Une émouvante visite d’un lieu bien méconnu de nos concitoyens.
En 1950, à la naissance de Kate, l’homosexualité masculine est passible d’emprisonnement. Mais l’homosexualité féminine n’a jamais constitué un délit au Royaume-Uni, ce qui rend les lesbiennes encore plus invisibles, y compris à leurs propres yeux. En grandissant dans le Yorkshire, la jeune Kate est bien obligée de dénicher des modèles à suivre partout où elle le peut : dans la vraie vie, les livres, le cinéma et à la télévision. A Pink Story retrace en images l’histoire fascinante de la manière dont la Grande-Bretagne d’après-guerre est passée d’un pays hostile envers les « invertis » à l’univers LGBTQI+ actuel